Le Liseur

Ce roman de Schlink m'a été offert en cadeau... précision importante, car si d'après le 11e commandement du rituel de Noël "Aucun cadeau tu ne refuseras", le 12e implique quant à lui d'en faire usage, s'il s'agit d'un livre, de le lire... Autant ne pas rechigner. Autant ne pas s'interroger sur le bien-fondé de cette action...

Dans le cas du Liseur, ce fut une chance de se lancer dans sa lecture à brûle-pourpoint, sans n'en rien savoir*, sans chercher au préalable de raison de le lire. Car en chercher m'aurait dirigé vers le site Babelio et son armée de commentateurs-notateurs ou bien vers Wikipédia, où des encyclopédistes mi-robots mi-humains pratiquent le divulgâchage façon rouleau-compresseur.

Aux innocents les mains pleines ! Vous l'aurez compris, il y a un "truc" dans ce bouquin, que je me garderais bien de révéler. Les citations ci-dessous peuvent être consultées sans crainte.

* au point d'ignorer que ce roman avait eu un succès, et pas d'estime, planétaire le succès, au point que Hollywood en a tiré un film (que je n'ai pas vu, personne ne m'ayant offert le DVD, mais que je suppose bon puisqu'il a permis a une rescapée du Titanic de se faire oscariser...)